30 mai 2006

anata ga daisuki desu Onny

Comment faire la part des choses ?
Comment, d'une part, mener une vie privée heureuse, et d'autre part, mener une vie publique intelligemment ? Enfin, je veux dire, doit-on mener sa petite vie de façon égoïste, ou d'accepter que les problèmes des autres nous concernent aussi, d'en prendre part, d'être solidaire ?


Oui, je me casse la tête !


Ce soir j'ai regardé Arte, il y avait des reportages à propos de la guerre en Irak. Des soldats qui ne savaient même pas pourquoi ils y étaient, des déserteurs condamnés à être emprisonnés parce qu'ils ont refusé de tuer des innocents, des médias surveillés... Et là, j'me suis dit: " Ah oui, c'est vrai, il y a l'Amérique, et ce Bush... ". Je me sens concernée, parce qu'à travers ces guerres, c'est l'avenir de l'humanité qui est en jeu. Je n'ai pas envie d'étaler sur cette page un discours pro-anti-individualiste, peace and love mon frère gna gna etc, mais simplement j'ai envie de dire qu'il est peut-être bon de s'intéresser à l'autre. Ca ne veut pas forcément dire se donner corps et âme dans une lutte ( c'est très bien si c'est le cas ), tous les jours aller pleurer pour les malheurs dans le monde ( il y a des églises pour ça ), mais au moins avoir conscience de ce qu'il se passe sur Terre, et de s'intéresser un minimum à ce qui nous entoure. Le monde d'aujourd'hui, je trouve, tend à nous ouvrir l'esprit.

20 mai 2006

Des mots


Envie de quitter le carcan urbain...

16 mai 2006

J'déblog

En mai, fais ce qu'il te plaît.


Mouais. J'suis loin du compte.

13 mai 2006

Sombre Histoire...

Electro-shock Blog


Concert de Eels, jeudi 29 juin, La Cigale...
La fourmi sera jalouse, ça va chanter.


:-)








...And maybe it's time to live

09 mai 2006

Le mot du jour: apotropaïque

Attention article purement nombriliste! Bah à quoi vous attendez-vous, c'est mon blog ici!
Aujourd'hui à la gare de l'Est, il y avait des jeunes femmes distribuant de la publicité pour Leroy Merlin. Les pauvres. Le sourire timide ou gêné, elles étaient en peignoire et avaient la tête enroulée d'une serviette.


C'est là que je me suis dit; qu'est-ce que je serais prête à faire pour gagner ma vie?




Voici. Etre obligée de m'habiller en tailleur pour me rendre tous les matins à un travail pas vraiment enrichissant. Supporter la pollution des fum(emmerd)eurs qui ont déjà signé leur arrêt de mort en attendant les transports en commun. Croiser tous les jours des têtes au teint blême, qui pensent si ce soir elles regarderont Navarro ou si elles iront directement se coucher, en ayant pour seul moment palpitant le bisou de leur moitié. Etc.
Eh bien non !

Je veux vivre mes rêves, non pas rêver ma vie.